Quatre morts dans un violent accident à Ahnif près de Bouira
Un violent accident de circulation, qui s’est produit sur la RN 5, samedi dernier, près du pont Sidi Aïssa situé à 10 km à l’est du chef-lieu de la commune d’Ahnif, s’est soldé par la mort de quatre passagers et la blessure d’un autre. L’accident qui est dû à un dérapage a eu lieu entre un camion semi-remorque et un véhicule léger immatriculé dans la wilaya de M’sila. Selon des témoignages, le véhicule léger a quitté la chaussée et fait plusieurs tonneaux pour se retrouver près du lit de l’Oued. Les victimes ont été évacuées en urgence vers l’hôpital de M’chedallah, où nous avons appris que la personne blessée est transférée vers l’hôpital de Tizi Ouzou. Par ailleurs, au niveau de l’échangeur de l’autoroute Est-Ouest situé dans la localité de Djebahia au nord ouest de Bouira, un carambolage s’est produit entre un fourgon J9, un camion et trois autocars, causant des blessures légères chez les passagers. Par ailleurs, il y a lieu de signaler que, la semaine dernière, la localité de M’chedallah a enregistré un autre accident de circulation ayant causé la mort de quatre personnes.
N. H
sans commentaire
Boumendjel, Francis et Saad Dahlab, GPRA December 1960
un djoundi de l’ALN dans un Maquis en algerie en 1962
Les dirigeants du FLN reçu par le roi du Maroc, mars 1962
L’armée des frontières, Tunisie 1962
Le lion de djurdjura tombé au champ d’honneur
chahid le colonel Amirouche chef de la wilaya III
Djamila Bouhired pendant son interrogatoire
Le commentaire de Si Hadj Mohand Abdenour
Le commentaire de Si Hadj Mohand Abdenour Chapitre 9 : Le Capitaine Wolf interroge des enfants de fellaghas.*
Iferhounene (Kabylie) 1960
1959 avec l’opération jumelle, l’année s’achève en emportant avec elle tous nos parents en âge de travailler, Mon frère chérif était déjà mort il y’a une année, en 1958 près du village ait Mahmoud, face exposé à l’imposant chaîne du Djurdjura, comme un témoin éternel, au chevet d’un jeune de 23 ans que l’envahisseur est venu de loin, de très loin, en brigand happer à cette luxuriante nature, cette paradisiaque contrée qui ne connaissait jusque là que la fraternité, la bonté, et les percepts de Dieu tout puissant. Avec la disparition de Si Hadj Mohand Madjid, un autre parent cousin, tué sur le flanc du pic Azro N Thor, la France coloniale, nous annonçait ses intentions criminelles: Priver la Kabylie de ses hommes valides, instruits, constituant la force de ce peuple jaloux de sa liberté, de sa culture, de sa dignité. Il était enseignant de « la Parole de Dieu » selon le Coran sacré. C’est au tour des plus âgés, ceux qui, avaient une famille nombreuse( !). Ensuite viendra le tour des plus jeunes, ceux dont l’âge se situe entre 23 et 14 ans Une véritable mission d’extermination systématique, et il n y a pas meilleure phrase pour décrire cette folie meurtrière de l’occupant que ces vers de Kateb Yacine qui fait parler un stratège militaire de la France coloniale pour expliquer ses desseins haïssables :