Bienvenue sur Ahnif & Tamelaht

Ahnif/Semmache, Hagui Timiliwine, Cheikh Left

                      Ces faubourgs oubliés en infrastructures sportives

 

Les passants qui fréquentent le CW 98 qui relie la localité de M’Chedallah à celle de Semmache, voire plus, puisque cette route reste largement usitée pour se rendre vers Tikida, peuvent aisément remarquer, en particulier vers les fins de journées, ces nuées de jeunes qui s’adonnent à la pratique des nombreuses activités sportives en plein air. 

 

Ils peuvent remarquer aussi la volonté, pour certains d’entre eux, de dégourdir un peu leurs jambes par la pratique de quelques sports collectifs. Seulement, au regard des moyens dont disposent ces jeunes ou des endroits où ils exercent leur sport favori, il ressortira d’une simple observation que cette tranche juvénile est laissée pour compte par les pouvoirs publics, sinon comment imaginer une simple parcelle de terre battue, non emblavée, du reste enclavée entre quatre chemins, servant de stade (au niveau de la localité de Semmache CNE El Adjiba) pour ces jeunes qui le moins que l’on puisse dire d’eux, prennent la chose aussi sérieusement que possible. Pour preuve, à chaque match organisé en fin de journée on constate qu’ils portent leurs tenues de sport la plus réglementaire possible (maillot, short et souliers). La présence des spectateurs leur donne la hargne de gagner… On comble cette carence de moyens par une volonté incommensurable, voire un amour pour la pratique d’un sport qui reste une des rares distractions pour le moment dans l’absence d’autres sites éducatifs ou culturel qui prendraient le dessus sur le jeu de cartes et dominos dans des cafés… Mais tel n’est pas aussi la distraction que tout le monde aimerait pratiquer pour des raisons morales pour certains ou et financière pour d’autres. 

 

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3 mars, 2008 à 16:36 | Commentaires (7) | Permalien


APC Ahnif

                             L’installation de l’exécutif est enfin dénouée 

Un consensus qui fait écho de la participation de l’élu du RCD à l’exécutif communal en se voyant attribuer l’une des 2 vice-présidences en compagnie de l’autre élu issu de la formation du FFS. 

A l’instar des quelques communes de la wilaya de Bouira, celle d’Ahnif a souffert de l’absence de l’installation de ses instances exécutives suite au phénomène du blocage dont ont fait usage les différents élus issus des différentes formations politique, et ce jusqu’à la fin de cette semaine où un consensus aurait été trouvé entre les différentes composantes de l’Assemblée.  Un consensus qui fait écho de la participation de l’élu du RCD à l’exécutif communal en se voyant attribuer l’une des 2 vice-présidences en compagnie de l’autre élu issu de la formation du FFS. 

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20 février, 2008 à 8:59 | Commentaires (0) | Permalien


Situation sécuritaire

77777.jpg Les attentats se multiplient en Kabylie 

De nombreuses communes de Kabylie situées à la limite départementale de Boumerdès, Bouira et  Tizi-Ouzou restent la cible privilégiée des commandos de l’organisation terroriste d’obédiences salafiste. Mûs par le désir diabolique de réinstaurer la psychose, escomptant récolter les dividendes au moment opportun, l’ex-GSPC a marqué, encore sa présence, ce week-end, en recourant à d’autres coups spectaculaires. 

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17 février, 2008 à 8:38 | Commentaires (1) | Permalien


Installation de l’exécutif à l’APC Ahnif

apc.jpg                                     Retour à la case départ 

Le blocage des communes ne cesse d’être commenté par l’ensemble des citoyens des différentes localités de Bouira qui ont à subir cette contrainte résultant des derniers scrutins locaux.  

La commune d’Ahnif, à l’instar des autres communes, revient cette semaine sur le devant de la scène après que les autorités wilayales eurent refusé de valider la délibération émise au courant du mois passé se rapportant aussi bien à l’installation des vice-présidences délégués qu’aux différentes commissions constituant l’assemblée, nous a confirmé un élu de cette commune.

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9 février, 2008 à 9:56 | Commentaires (1) | Permalien


Développement de la filière oléicole

olivetreepm0.jpg                                       Concours pragmatique de
la PME

La direction de la PME et de l’artisanat s’est engagé depuis peu dans la sensibilisation des oléiculteurs, producteurs et professionnels du domaine établis dans la wilaya de Bouira afin qu’ils s’organisent en  association pour défendre leurs intérêts communs, et le cas échéant exporter leur production oléicole. 

Les efforts consacrés par la direction de la PME dans ce sens ont abouti à la création d’un groupement lequel tirera véritablement avantage  du soutien des dispositifs mis en place par l’Etat à cet effet, notamment ceux qui ont trait à la mise à niveau de la profession. 

Il est question dans ce programme de hisser les producteurs d’huile d’olive au niveau des normes requises par le marché international et de cette manière, il  leur sera aisé d’exporter leur marchandise.  Dans ces circonstances, la direction de la PME conjointement avec l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV) a engagé une action inhérente à la mise à niveau de la filière oléicole, à l’avantage des producteurs de l’huile d’olive dans la région de M’chedallah dont la vocation oléicole est bien connue. 

Cette action a été suivie d’une période de formation dans le but d’imprégner les profession de l’oléiculture des techniques d’exportation et du management de l’entreprise.  En définitive, les conditions de développement de la filière oléicole dans la wilaya de Bouira sont tributaires de l’identification des contraintes qui subsistent. Il faut en outre procéder par la suite à son organisation en lui apportant le savoir-faire afin de la hisser aux standards internationaux. Compétitivité oblige ! 

Fahem H.

6 février, 2008 à 10:48 | Commentaires (0) | Permalien


Bouira / M’chedallah / Ahnif

                                  L’arrivée des cartes monétiques et après ? 

 

Les citoyens de la daïra de M’Chedallah se voient saisir ces derniers jours par écrit par les services des postes leurs demandant de se présenter auprès de leur guichets pour le retrait de leurs nouvelles cartes magnétiques qui suppléeront désormais les chèques actuels. 

Seulement les procédures de retrait usée actuellement laissent à désirer comme l’attestent les quelques citoyens rencontrés au niveau du guichet ce jeudi et qui n’arrivent pas à comprendre le pourquoi de l’obligation de leur déplacement de leur localité (Ahnif, Ath Mansour…) à la poste de M’Chedallah centre pour en faire le dit retrait (apparemment pour la remise d’un code !!!) mais malheureusement dès la présentation au niveau du guichet une demande de laisser un document officiel (CIN/PC) pour revenir la récupérer le début de semaine (soit samedi). A-t-on oublié que les gens travaillent du samedi à jeudi ? Sinon de bonne règle dès qu’une personne s’est présentée au guichet il n’y a pas de raison d’être refoulée à une date ultérieure. Reste l’autre préoccupation des citoyens qui consiste en les moyens qui seront mis en place pour l’exécution de cette nouvelle procédure de retrait d’argent. Aujourd’hui aucun investissement en matière puisque certaines postes ne sont pas encore dotées de distributeurs de billets et s’ils en existent ce n’est pas en nombre suffisant. Peut être que les services de la poste gèrent la procédure sous forme de phase, à bien dire opérer par la distribution de ces moyens de payement et les lieux de retrait avec infrastructures suivront postérieurement. La peur est plus grande auprès des clients sur le retour de chaînes interminables sur ces machines, mais cette fois à l’extérieur des établissements de la poste… 

Dans le même sillage, des inquiétudes des citoyens, comme nous le fait remarquer cette personne âgée est celle inhérente à cette catégorie de personnes âgées analphabètes du reste et à qui on demandera très prochainement de faire usage dans leur gestion financière quotidienne de cette nouvelle technologie : sauront-elles la faire fonctionner ? Elles sont analphabètes. Demanderont-t-elles de l’aide ? Risque élevé d’être dérobé de son code voire même de sa carte… Les faits divers inhérents à l’usage de la carte monétique à travers le monde n’y manquent pas, nous fait rappeler cette personne (sûrement un émigré), chose sur laquelle nos citadins et ruraux ne peuvent même pas y songer maintenant car c’est une nouveauté intégrée pour le secteur des postes qui nécessite une période de pratique par les uns et par les autres pour arriver à déceler les différentes contraintes qui pourront y surgir. D’ici là, la question sur la mise en œuvre de ces cartes émanait d’un enseignant qui considère que l’initiative est louable en elle-même, pour peu que ces distributeurs ne soient pas une autre contrainte supplémentaire en faisant allusion au manque d’argent au niveau des ces distributeurs, comme furent par le passé les quelques distributeurs ayant existé à travers certaines postes ou autres établissements financiers ayant opté pour cette technique monétique. Espérons que les services de la postes avaient pensé bien avant les citoyens à ces différentes contraintes qui restent pour une société où le taux d’analphabétisme reste très élevé qui peut susciter bien des méfiances sinon le regret d’une disparition du chèque pour qui, apparemment, ses jours sont bien comptés. 

M. K. 

2 février, 2008 à 9:30 | Commentaires (0) | Permalien


Bouira : Les projets de l’APW

La première saison ordinaire

 

 Le projet d’une maison de la presse à Bouira est relancé après qu’on l’eut cru définitivement abandonné. 

Le P/APW, dans son allocution d’ouverture de la première saison ordinaire de cette assemblée, en a abordé le sujet ainsi que la création d’une radio locale. Cette intervention a dû être appréciée par l’ensemble de la corporation qui n’avait jamais pesé lourd dans l’estime de l’ancien P/APW. Jamais au cours du dernier mandat de cette APW, il n’a été question des problèmes que rencontre la presse locale dans l’exercice de sa profession. Dieu sait pourtant si celle-ci y est confrontée quotidiennement dans ses rapports avec l’administration qui garde des réflexes de méfiance et de repli vis-à-vis d’elle, quand elle ne met pas tout en œuvre pour lui rendre la tâche plus difficile. Nous pensons par exemple au moyen de transport mobilisé pour cette même presse lors des visites ministérielles : la wilaya ne met qu’un véhicule léger de 4 places pour une trentaine de journalistes au moins. En 2000, le projet d’une maison de presse a fait couler beaucoup d’encre avec la maison de la culture et d’un centre universitaire. Le wali de l’époque en avait fait une priorité, allant jusqu’à débloquer une coquette somme pour l’acquisition d’un local appartenant à l’OPGI. Et puis, on ne sait pourquoi, les choses traînèrent et le projet est tombé à l’eau. Il est clair que la construction d’une maison de la presse et l’installation d’une radio locale à laquelle on a réservé une assiette de 700 m2 renforcera davantage les moyens de lutte pour sortir la wilaya de son isolement économique et culturel auquel semble la condamner la modestie des efforts déployés pour la placer sur l’orbite du développement et de la modernité. 

Ali D. 

30 janvier, 2008 à 14:09 | Commentaires (0) | Permalien


Bouira. Peine capitale à l’encontre d’un terroriste

Les terroristes sévissaient à Ahnif

Activant dans les maquis depuis 1996, il assassine en 2002 à Aïn Laloui un garde communal auquel il ôte 30 millions et trois autres gardes communaux en 2005 à Ahnif. 

 

Deux affaires liées au terrorisme impliquant deux criminels notoires ont été jugées hier au tribunal criminel près la cour de Bouira. Dans la première, la peine capitale a été prononcée à l’encontre du terroriste Akliouche Oulaïd. Dans la seconde, concernant le terroriste Khaladi Farid, dit Aboudjena, le renvoi a été fixé à mars prochain. La nuit du 8 mars 2000, le terroriste Akliouche, né le 12 mai 1961 à Raffour, tendait avec deux de ses sbires, Limam Abdelmalek et Hacène Smaïl, un faux barrage au lieudit Lala Zineb. Un garde communal en tenue tombe dans le guet-apens. Il est descendu de voiture, ligoté puis égorgé par Akliouche qui au moment de se replier avec le groupe terroriste qui comportait d’autres éléments criminels tirait une balle dans la tête de la victime. Rattrapés par les forces de sécurité, les terroristes faisaient face et laissaient un des leurs sur le champ de bataille. C’est Akliouche Oulaïd. Blessé, il est arrêté et jeté en prison. C’est le geste inutile, mais haineux d’avoir tiré une balle dans la tête du garde communal et qui témoigne davantage du caractère sanguinaire de l’assassin qui lui valu la condamnation à mort. Il a d’ailleurs d’autres affaires l’impliquant tout aussi gravement dont l’une d’elles lui a déjà valu la même condamnation. Ses deux complices sont toujours en fuite. Aboudjena, lui, est arrêté par les services de sécurité. Activant dans les maquis depuis 1996, il assassine en 2002 à Aïn Laloui un garde communal auquel il ôte 30 millions et trois autres gardes communaux en 2005 à Ahnif. La troisième affaire jugée avant-hier par la même instance a valu cinq ans de prison ferme à Okbi Samir, 25 ans. Il participait en 2003 à ce faux barrage qui devait coûter la vie à un garde communal et faire deux blessés parmi les éléments de ce corps. A cette époque, le jeune terroriste qui avait 18 ans devait se servir de cet alibi pour déclarer avoir rejoint le maquis contraint par la force exercée sur lui par son père, un terroriste aussi. Par ailleurs, nous apprenons que l’attaque terroriste qui a ciblé dans la nuit de samedi à dimanche un campement de la garde communale à Maghraoui, à Mihoubi, dans la wilaya de Médéa, a fait plusieurs blessés parmi les éléments de ce service de sécurité. 

Ali D. 

 

30 janvier, 2008 à 14:06 | Commentaires (0) | Permalien


Des terres désertées à Ahnif

valleedesertee.jpgPourquoi pas des regroupements d’habitations 

La commune d’Ahnif est située à une trentaine de kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya, Bouira. Elle compte parmi celles ayant le plus vaste territoire au niveau de la daïra de M’Chedallah dont elle relève. 

 En prime, des vastes prairies qui demeurent malheureusement non exploitées. Cet état de fait se passe de tout commentaire, les citoyens de cette commune continuent à traîner un quotidien des plus moroses alors que des richesses importantes demeurent en jachère. Pour certains notamment ceux ayant des terres du côté sud de la commune, la solution est de s’établir dans d’autres communes limitrophe pour fuir l’isolement et le manque de commodités, même les plus élémentaires, au niveau de leur localité. 

Cela, au moment où l’Etat accorde des sommes faramineuses pour ramener les paysans à reprendre leurs terres mais surtout les exploiter dans le double objectif d’amasser, d’accumuler des richesses et d’éviter l’exode rural. C’est ainsi que la fameuse formule de création de regroupements d’habitations dans le cadre des différents plans destinés au développement de l’agriculture et de l’emploi ruraux, sonne comme une solution médiane et même idéale, à laquelle les responsables de cette commune semblent ne pas y penser. 

Dans ce cadre, nous avons d’ailleurs appris que certains propriétaires terriens sont sur le point d’adresser leurs doléances aux autorités compétentes, afin de solliciter la prise en charge de tels projets dans le but de ramener les citoyens de la localité à réoccuper le terrain laissé en jachère depuis déjà de longues années. Une initiative à saluer en fait, et il faut attendre  des initiatives similaires de la part des autorités compétentes afin d’encourager les citoyens à l’exploitation de cette richesse.    

  Juba D. 

30 janvier, 2008 à 10:01 | Commentaires (0) | Permalien


Bouira:De nouvelles infrastructures sanitaires

photoamar20tou1.jpgUn centre hémodialyses à Ahnif

En attendant l’ouverture des trois centres hémodialyses d’Ahnif, Lakhdaria et Ain Bessem, on apprend que celui de Sour El Ghozlane qui a bénéficié d’une enveloppe de 95 millions de dinars dans le cadre du programme spécial des Hauts-Plateaux, sera opérationnel dans peu de temps…

Depuis les instructions ministérielles portant sur la réforme hospitalière, le secteur de la santé à travers la wilaya de Bouira est en phase de connaître un redéploiement à travers ses différentes structures sanitaires, notamment en milieu rural. C’est toutefois les ambitions de M Lamouri, le DSP de la wilaya qui prévoit plusieurs structures pour renforcer le secteur. Ainsi, on apprend qu’il existe désormais deux genres de structures sanitaires, à savoir l’EPH (Etablissement public hospitalier) et l’EPSP (Etablissement public de santé de proximité).

Cette nouvelle carte hospitalière a été conçue afin de mieux prendre en charge les problèmes des malades et pour leur permettre l’accès à un dispositif de santé publique dans leur environnement immédiat, à savoir entre autres, la prise en charge, le dépistage et les consultations spécialisées. Pour cela, le ministère de la Santé procède à un recrutement massif pour pourvoir les postes de ses nouvelles infrastructures sanitaires.

A ce sujet, M Lamouri exhorte l’ensemble des jeunes diplômés (sages-femmes, et paramédicaux) de la wilaya a déposer leurs dossiers de recrutement au niveau des EPH (établissement public hospitalier) et l’EPSP (établissement public de santé de proximité). En parallèle, le personnel exerçant au niveau des EPSP est en formation continue, et bénéficie de stages pour apprendre à gérer ces nouvelles structures. Sur un autre volet, le DSP nous apprendra que la wilaya de Bouira prévoit la réalisation de deux hôpitaux, dont un psychiatrique, 7 polycliniques, 14 salles de soins, un centre intermédiaire pour toxicomanes, ainsi qu’une annexe de l’Institut Pasteur, sans parler des projets de réhabilitation d’anciennes infrastructures. Néanmoins, le DSP dira qu’il y a un manque flagrant d’entrepreneurs pour réaliser ces travaux, et invite ces derniers à se manifester rapidement pour permettre à la wilaya de Bouira de se doter d’une couverture sanitaire exemplaire.

Les travaux de réalisation d’infrastructures sanitaires attendent d’être exécutés mais également les travaux de réaménagement comme c’est le cas pour l’infrastructure sanitaire d’Ahnif, dans la daïra de M’chedallah, qui doit recevoir prochainement un service d’hémodialyse, au même titre que Ain Bessem, Lakhdaria et Sour El Ghozlane.

Pour rappel, les malades atteints d’insuffisances rénales sont obligés de se rendre à l’hôpital de Bouira pour se faire dialyser. Auprès de cette structure, on apprend que près de 144 malades se relaient auprès des reins artificiels du chef-lieu de wilaya. Un chiffre qui ne refléterait toutefois pas la réalité, car plusieurs personnes sont traités au niveau d’hôpitaux en dehors de la wilaya de Bouira. C’est le cas de l’hôpital d’Akbou relevant de la wilaya de Béjaïa qui reçoit des malades provenant de la daïra de M’chedallah.

Il faut savoir que le traitement d’une personne souffrant d’insuffisance rénale revient très cher : «Entre 150 à 220 millions de centimes par patient», nous révèle le DSP. Toutefois, en attendant l’ouverture des trois centres hémodialyses d’Ahnif, Lakhdaria et Ain Bessem, on apprend que celui de Sour El Ghozlane qui a bénéficié d’une enveloppe de 95 millions de dinars dans le cadre du programme spécial des Hauts-Plateaux, sera opérationnel dans peu de temps, juste après l’opération d’ouverture des plis.

La nouvelle carte sanitaire permettra de réguler un nombre impressionnant de malades qui affluent quotidiennement aux services des urgences des cinq principaux hôpitaux de la wilaya, notamment celui de M’chedallah lequel devait jusqu’alors gérer la couverture sanitaire d’une population estimée à plus de 60 000 âmes. Plus qu’un défi, c’est un exploit réussi par M. Tellah, directeur de l’hôpital de M’chedallah, qui, en dépit des faibles moyens humains, a su satisfaire cette population issue à majorité de zone rurale.

Un hôpital qui doit faire face également aux blessés des accidents de circulation qui surviennent quotidiennement sur la RN 05, la RN 15, et la RN 26.

Hafidh B

28 janvier, 2008 à 20:37 | Commentaires (0) | Permalien


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