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salut je suis hsmza je suis muslimant je veux seulement de connitre avec des amis by
26 août, 2007 à 11:12AZOUL
4 octobre, 2007 à 21:51BONJOUR JUSTE UN PETIT BONJOUR A TOI RT TOUS LES AMID DE TON VILLAGE SON OUBLIER guerouaze akli et avec qui j’ai fait le lyce a mchedallah
je me souvient un jour un professeure lui a dit (ahssalt ya guerouaze) de la part de
MOHAND AMEZIANE SLIMANI
meziane2104@orange.fr
Azul ,
meilleurs voeux à tous les habitants d’ahnif.
Merci pour le site et pour les infos s’y trouvant.
http://mestafa.free.fr
Mestafa MOUSSI
14 janvier, 2008 à 13:51Paris
je trouve l’initiative de creer un site dédié à la région de tamelaht tout à fait louable et méritoire, car c’est une des régions de l’agérie qui le plus souffert de la guerre libération et qui a payé un lourd tribut pour l’Indépendance
16 mars, 2008 à 23:23cependant, les évènements relatés sous forme d’épisodes,proviennet d’un témoignage livré par un adjudant (adjoint de l’officier de renseignements, terme sybillin qui veut simplement dire: chef des équipes chargeés des totrures)qui a vécu la guerre du coté français.
Pour avoir lu dans sa totalité ledit témognage je pense que c’est un récit subjectif qui ne relate pas tout à fait les souffrances dans lesquelles a vécu la population locale.
je vous suggère de recueillir des témoignages de moudjahidine (vrais) encore vivants pour témoigner de ce qui s’est passé dans cette région connue pour son amour de la libérté et son hostilité pour tout ce qui représente l’autorité d’où qu’elle vienne.
êves de sexualité Rêver d’une femme Rêver d’un homme
18 mars, 2008 à 20:54Infidélités adultère Rêver de dents Rêves de cailloux
Pierres précieuses Rêves de plantes Faire la course
Rêve de rupture Rêves de mort Baignoire bain
Rêve de rencontres Rêve de voyage Embrasser une personne
Rêver de mariage Cercle ou roue Rêves de feux
Cheveux peigne Rêver de vêtements Laver en rêve
Paradis et Saints Valises ou bagages Rêver de serpents
Rêver de couleurs Rêves d’invitations Les signes du zodiaque
Jeune fille en rêve Les yeux Rêves de sang
De Nanterre à Tadmait
Extrait du livre « les voleurs d?enfance »
Par
Abdenour Si Hadj Mohand
A mon arrivée, j?ai été surprise de redécouvrir mon quartier, ce jour, 3 mars 2008. Je n?ai pas écrit depuis déjà bien longtemps, et cela me donnait cette étrange impression de me recroqueviller sur moi même. La grippe qui est venue s?installer en moi a trouvé le terrain favorable, sans compter l?environnement extérieur glacial de ces derniers jours. Enfin, il commence à faire chaud. Je me sens encore fatiguée après cette dure épreuve. Maintenant Il fait beau et c?est vraiment rassurant de revoir le soleil après une absence qui m?a paru trop longue. Les gens sortent de leur coquille, et deviennent moins grincheux, Ils ont un visage rayonnant, en tout cas moins stressés.
20 mars, 2008 à 13:12Les élections sont passées, cette fois je n?ai pas tenu de bureau de vote comme à l?habitude, et, naturellement c?est la gauche qui a cartonné partout ou presque. Je le savais d?avance étant donné que sur le terrain, le malaise social n?arrêtait pas de grossir à vue d??il.
Les terribles inégalités ont engendré la fracture sociale. Le pouvoir d?achat ne cesse visiblement de pénaliser les ménages. Même la classe moyenne s?est retrouvée au pied du mur. Aujourd?hui, il y a l?émergence d?une nouvelle classe : celle qui travaille mais qui ne parvient pas.
Annie est arrivée ce matin abandonnant pour une fois son bonnet phrygien pour un autre qui me paraissait tout à fait banal. Par contre sa philosophie de la vie est restée inchangée malgré ce nouvel accoutrement. Ce qui ne m?a pas empêché de la complimenter comme j?avais pris l?habitude de le faire mais, cette fois par rapport à ses bottes. Pour dissimuler ses craintes d?être soupçonnée de femme snob elle me disait souvent qu?elle s?habillait dans les braderies.
Qu?elle ne pouvait s?habiller dans les boutiques à cause soit disant des prix fort élevés. En fait, moi même je savais qu?elle avait parfaitement raison malgré qu?elle affichait cette fausse modestie. Je crois en fait que, malgré tout, que le coût de la vie nous donnait à tous des claques magistrales. Enfin bref, nous espérions tous que les choses allaient s?améliorer et la mise en place par le gouvernement de nouveaux dispositifs en plus de ce qui est déjà en place permettrait de réduire quelque peu ces inégalités. Ce qui était à mes yeux primordial et d?une urgence incontestable.
IL fait beau !il fait beau !ce refrain dans ma tête, je le chantais à tue tête, pour créer dans mon intérieur cet état de bonheur et de joie intime. Effectivement, la vie est plus agréable quand il fait beau. J?ai toujours l?impression que j?avais moins de tracas quand il fait beau. Cette harmonie entre la vie intérieure et le monde environnant montre bien qu?il n?existe aucune cloison étanche entre l?individu et le milieu dans lequel il baigne. Une matinée radieuse en l?occurrence et fabuleuse et les journées sont plus légères dans leur contenu même les plus lourdes nous paraissaient très légères, dans ce contexte de lumière et de chaleur, ici à Nanterre.
En Algérie, c?est la période des fèves et des petits pois. Le moment où l?on peut déjà dans la rue, commencer à sentir ce fameux couscous aux fèves et aux petits pois qui chatouille les narines. Oh !combien ça me manque, cette odeur, moi qui suis maintenant enveloppée dans les bruits d?une grande ville française. Jadis, le seul bruit qui me parvenait, quand le soir à la tombée de la nuit, blottie dans ma couverture de laine, sur mon sommier de bois, c?était le bruit feutré de la pluie sur le toit en tuiles berbères. J?aimerais pouvoir y retourner, ne serait que pour une journée pour voir les personnes que j?aime, m?exposer de tout mon corps au soleil brûlant, sentir toutes ces odeurs du printemps, ces saveurs culinaires.Je t?embrasse très fort et souhaite te revoir bientôt, ma chère ville « coloniale » TADMAIT.
Je pense que l?oranger de maman est en fleurs et dans la cour se répand son doux parfum en fin de journée mêlée aux effluves du café. C?est le début du printemps et tout est en train d?éclore : les pommiers, les grenadiers, les abricotiers, pour embaumer l?air et lui donner un goût de fête malgré les tristesses qui se lisent sur les visages de ces kabyles trop longtemps privés de distraction par une
les difficultés de la vie et le spleen de le vie moderne sans les commodités qu?elle offre sous d?autres cieux. On ne peut tout avoir dans la vie qui est elle même jalonnée d?événements comme pour assombrir davantage encore nos journées.
Je sais que ma mère est très mal en point. Cela fait à peine un an que ma frangine est décédée, et je me retrouve seule sans s?ur, sans avoir non plus de frère. C?est trop dur de ne plus pouvoir parler à ma s?ur au téléphone. De ne plus discuter avec elle. Ce vide est devenu incommensurablement plus pesant pour moi qui suis d?un tempérament fragile, à cause des aléas de la vie. La perte tragique tout récemment, de mon époux, a fini de parachever la destruction de l?édifice que j?ai savamment et patiemment construit en l?avenir. J?ai cru que tout allait s?effondrer autour de moi et le temps est passé, j?ai commencé à apprivoiser ma solitude, à en faire d?elle une confidente. Je me disais, malgré tout j?avais une s?ur qui m?écoutait, elle est certes loin mais le téléphone nous rapprochait et sa voix rassurante me donnait un peu de courage pour affronter mes difficultés de femme seule avec deux enfants à charge, deux tendres et fragiles fillettes, livrées aux dangers d?un monde austère, sauvage, impitoyable. La perte de ma s?ur a été un coup fatal, et, pour ce qui me restait comme courage je fus anéantie. Je ne me suis pas encore relevée de la perte de Boussad qu?une autre perte est venue endeuiller mon ciel, en assombrissant ma visibilité à l?horizon. Cette terrible idée de malédiction me hantait l?esprit et je me faisais violence en y songeant : pourquoi ça n?arrive qu?a moi, ce genre de drames ?
9
Préface
Un chasseur alpin raconte sa vie. Un fils de « fellagha »
raconte la sienne. Ce qu?elles ont de communs, ces deux
existences : le lieu du déroulement du drame, Iferhounéne,
un village kabyle posté depuis l?ère des quinqué gentii1 sur
un mamelon qui fait face à l?imposante chaîne du djurdjura.
En y installant leur camp dés 1956, les forces
d?occupation avaient visé un objectif stratégique, inspiré
de la nature même du relief escarpé et de la position dominante
du chef lieu de cette portion du territoire
algérien : Observer les mouvements des villages environnants
: Tifilkout, Ait arbi, Ait Hamou, Ait Mansour,
Barber, Taourirt Ali Ouanacer, Tikilsa. Quant à Haadouche
et les autres, même cachés, ils ne seront qu?à quelques
minutes de marche de là, à portée de canon.
Jadis panorama touristique pittoresque, le Djurdjura allait,
des années durant, offrir une image apocalyptique ou
se mêlent tous les malheurs d?un peuple marqué par son
histoire déjà trop agitée : batailles sanglantes, embuscades,
ratissage ?torture, viols, exécutions sommaires.
Le chasseur et le fils de fellagha, ont passé ensemble
une partie de leur vie, face à face, chacun de son coté de la
barrière? Du barbelé qui sépare le village du camp militaire.
Sans se connaître, ils ont vécu les mêmes
événements historiques qu?ils ont ressentis chacun à sa
1 quinqué gentii. Terme romain, utilisé pour designer les 5 premières
tribus berbères installées au flan DJURDJURA, appelé par les romains,
Mons Ferratus ou montagne de fer, en raison de la résistance
farouche opposée à l?occupant.
10
manière, selon ses propres convictions. Différemment,
voire parfois même antagonistes, malgré le point commun
qui peut rapprocher les hommes dans certaines circonstances,
dans leur pensée, deux hommes épris de paix et de
justice.
Dans la première partie de cette oeuvre ; Le chasseur alpin,
nous livre les secrets de cette courte période de son
service militaire, passée à livrer bataille malgré lui, à un
ennemi invisible, au lieu disait-il, de séjourner en touriste
insouciant dans ce qu?en métropole, on appelait, fanfaronnerie
ironique « les vacances algériennes. »
Je ne dirai rien de sa vie privée, et ne porterai aucun
commentaire sur ses sentiments exprimés, dans ce livre
qui a le mérite de nous dire des choses authentiques, sans
détours, sur le drame vécu par le peuple algérien.
Si l?histoire est authentique, les noms des acteurs ont
été changés sciemment pour des raisons évidentes de respect
de la discrétion. Mais cela ne leur enlève en rien, la
reconnaissance du mérite ou la condamnation de l?opinion.
Nous laissons le soin sur cet angle, à l?Histoire pour en
juger.
A coté des faits véridiques endeuillants relatés par le
soldat, le narrateur a voulu mettre une place à l?amour, aux
sentiments positifs, à travers cette édile pour la Femme,
avec un grand F incarnée par YASMINA qui aurait pu
s?appeler Lila ou khelidja, ou encore Jacqueline, et résider
à Ait El Mansour, Taourirt ou encore Iferhounée, Tifilkout
ou Iril El Arbi ou tout simplement Lyon, Marseille, Nantes
dans un contexte de paix
Cette histoire est le fruit de la pure imagination délirante
du soldat français, pour rendre moins pénible, moins
cruelle, moins insupportable la vie, quand la mort est devenue
la rançon quotidienne pour tous, de quelque coté du
conflit où l?on peut se placer.
La deuxième partie de ce livre est consacrée aux récits
des faits de ces événements à la même période, vu d?un
11
oeil d?enfant innocent, qui n?avait que 4 ans et grandi dans
le fracas des armes jusqu?à l?age de 12 ans, pour finir seul,
privé de tous ses parents happés par la machine de guerre
infernale d?une puissance militaire. Ils sont 8 hommes de
la même famille, tous dans la force de l?age, en bonne
santé, bien éduqués, lettrés, à être tués par l?armée française,
entre 1958 et 1960, tous les armes à la main. Ils
étaient, ce que la propagande coloniale appelait « les Fellaghas
», et, que l?enfant de la guerre, fils de « fellagha »,
lui, a toujours pleurés, en secret, dans ses moments de plus
grande solitude. Pour lui, il ne subsiste aucun doute : ils
sont morts pour leur patrie, en martyrs de la révolution.
Cette oeuvre se veut un témoignage fort sur le sacrifice
du peuple algérien, le drame des hommes, des femmes et
des enfants colonisés, dominés, maltraités, torturés, assassinés.
Il est aussi une lueur d?espoir pour les générations montantes
de pays développés pour refuser, rejeter le fait
colonial et condamner la guerre.
Livre 1
Un soldat français m?a raconté?
Un épisode de la guerre d?Algérie
qui s?est déroulé dans mon village :
Iferhounéne (Kabylie 1958-1960)
Première partie
17
21 mars, 2008 à 2:54Insouciance
Août 1957, la date fatidique approchait, au mois de septembre
je serai convoqué pour effectuer mon service
militaire.
Ainsi une partie de ma vie s?achevait. Ma bicyclette
appuyée contre un arbre de la forêt de Senlis, j?étais allongé
sur un tapis de mousse et regardais le ciel bleu azur à
travers le feuillage d?un chêne centenaire. Mon enfance
me revenait en mémoire, toute ma tendre et heureuse jeunesse
passée dans ce quartier populaire de la Villette où se
côtoyaient Français, Italiens et Algériens sans grande harmonie
mais sans trop de problèmes. Les années de guerre
avaient eu raison des petites économies de mes parents,
consacrées en grande partie à l?achat de denrées payées au
prix fort, qui permirent à ma soeur et moi de nous alimenter
à peu près correctement.
Les instituteurs de l?école primaire de la rue de l?Ourcq
m?amenèrent jusqu?au certificat d?études que j?obtins facilement,
mais sans grand mérite, car j?apprenais facilement
et souvent mes leçons étaient retenues sur le chemin menant
à l?école.
J?avais passé avec succès l?examen d?entrée en sixième
du lycée Colbert, mais mon père, sachant qu?il ne pourrait
faire face à de longues et coûteuses études malgré les
bourses délivrées chichement, décida que j?apprendrais un
métier manuel. J?avais une préférence pour le métier
d?électricien, mais ma brave maman, gardienne d?immeu18
ble, (on disait concierge à l?époque, d?une façon moins
péjorative que maintenant) avait l?estime de « ses » locataires
et au cours d?une conversation avec une demoiselle de
l?immeuble, celle-ci lui fit part des avantages des métiers
des arts graphiques.
C?est ainsi qu?au mois de septembre 1951 la grande
famille des typographes comptait un apprenti de plus.
Merci chère maman de m?avoir fait épouser le plus beau
des métiers, hélas, obsolète aujourd?hui.
C?était le début de ma vie professionnelle, mais je ne
quittais pas pour autant l?enseignement général ; tous les
mercredis pendant quatre ans, je retrouvais les bancs et
ateliers de la prestigieuse École Estienne ; les professeurs
nous enseignaient avec autorité et compétence de solides
cours théoriques et pratiques sur les métiers de l?imprimerie.
Tous les soirs je rentrais chez moi vers 17h30 ; après
une rapide toilette, je rejoignais mes copains au café « La
Mandoline », c?était notre lieu de rencontre habituel ; le
petit groupe que nous formions était sans histoire ; tout le
monde nous connaissait, les quelques voyous du quartier
eux-mêmes nous saluaient, nous avions usé nos fonds de
culottes sur les mêmes bancs d?école ; pour eux, nous faisions
partie du paysage depuis toujours et ils nous
fichaient une paix royale. Nous avions de bons rapports
avec les Italiens et les Maghrébins qui malgré leur nombre
élevé se faisaient discrets.
Après avoir dégusté une ou deux boissons non alcoolisées
(le lait grenadine était très à la mode à cette époque),
nous « montions » nonchalamment jusqu?au métro « Crimée »
pour y retrouver d?autres copains et surtout nos
chères copines? J?étais très amoureux de Denise. Avec le
recul je pense qu?il s?agissait plutôt d?attirance physique ;
ce sentiment qu?inspire une jolie fille de dix-huit ans à un
A la recherche du temps perdu
Extrait de « les voleurs d?enfance »
Par
Abdenour Si hadj Morand
J?ai essayé à travers mes écrits de mettre les mots qu?il faut sur mes émotions, sur les images de mes souvenirs et les sensations que je ressens à présent. J?ai recherché dans les dédales de ma mémoire des souvenirs à transcrire, certains, qui me sont revenus instantanément, j?ai pu les coucher aisément sur une feuille blanche, d?une manière presque spontanée et fluide en même temps. D?autres enfouis au fond de mon cerveau, refusent d?émerger. Il m?a fallu du courage et surtout de la peine pour dépoussiérer ma vie. D?en pleurer, d?en rire en relisant mes courriers qui ont fait couler mes larmes généreusement. Dois je digérer sans rechigner ces mots tranchants, assassins et, me soumettre au pardon ? L?unique voie qui m?est offerte? Mon c?ur sensible pourra-t-il supporter ce poids en se soumettant à cette épreuve de force ? Aurais-je le courage de fixer ces photos avec le sourire en feignant de croire que malgré tout la vie valait bien de continuer à être vécue ? Suis-je en mesure d?effacer mes regrets ? , car, me voila aujourd?hui reprenant le goût à la vie. Je me vois subitement envahie par la passion et le désir irrésistible de voir, d?être l?acteur même de l?épanouissement de mes filles. La rage d?évoluer quant à moi dans le sens de l?avenir en essayant de rattraper le temps perdu ; se heurte au poids d?un passé traumatisant. Voilà la réalité du dilemme auquel je suis à présent confrontée et qui inhibe chaque action que Je tente d?entreprendre dans la vie. Je suis maintenant persuadée que de ma persévérance et de ma force de caractère dépend ma réussite ou mon échec. Autant dire que dans ma vie l?échec a toujours côtoyé la réussite, et, rien que pour cela , j?aurais besoin de toute mes forces physique et morale mais aussi d?un soutien indéfectible qu?il me semble déjà possible de trouver , pour en sortir vainqueur de cette impasse. J?ai maintenant compris que mon espoir me fournit l?énergie nécessaire et suffisante pour me projeter dans l?avenir et dépasser toutes les bassesse d?une vie, mesquine. Mon ascension spirituelle, et par voie de conséquence mon bonheur ne dépend que de la manière dont je dois désormais, à l?avenir, gérer ma vie. Je me sens du coup investie non seulement d?une responsabilité mais d?un pouvoir pour non seulement m?intégrer au lieu dans lequel je baigne mais aussi d?influer sur celui-ci, dans la limite de mes droits.
25 mars, 2008 à 3:39» Il est aussi facile de rêver un livre qu’il est difficile de le faire. »
Honoré de Balzac
» Les troupes du Colonel Amirouche, les chasseurs alpins et les Harkis »
Résumé : 1958. Iferhounène, un village kabyle suspendu dans les airs, face à l?imposant pic d?Azrou n?Thor. Un village, mais aussi un camp militaire français. Les chasseurs alpins d?un côté, les fellaghas de l?autre. Abdenour a alors huit ans. Avec ses yeux d?enfant, il assiste aux exactions dites pacificatrices de l?occupant. Au choix des rebelles. A celui des Harkis. A l?être humain en action?
Critique : Après « Fils de fellagha » et « La Guerre vécue par un chasseur alpin », Abdenour Si Hadj Mohand poursuit son travail de mémoire en dénonçant une fois encore le cauchemar colonialiste. Toujours aussi vibrant de colère et d?émotion, il apporte une pierre de plus à l?honneur d?un peuple algérien déchiré. Et s?il condamne, il cherche aussi à comprendre. A l?heure où certains veulent vanter les effets bénéfiques du colonialisme, il semble plus que nécessaire de se plonger dans cette leçon d?Histoire.
29 mars, 2008 à 17:29suicide en Algerie
Stress, dépression nerveuse, chômage, malvie
2 avril, 2008 à 20:55Chaque jour, un Algérien se suicide?
En finir avec la vie pour fuir une réalité trop dure à supporter, telle est la situation qui a emporté l?année écoulée 177 âmes algériennes recensées par les services de police, à l?heure où de son côté la Gendarmerie nationale a enregistré le triste record de 128 cas. Y a-t-il lieu de s?alarmer ? La réponse est sans doute oui, car la courbe est ascendante et le nombre des suicidés enregistre une hausse, même si elle est légère. Le constat fait par la police le confirme, le phénomène connaît une constante évolution depuis l?année 2005. Ainsi, de 114 victimes en 2005, on est passé à 169 cas en 2006, pour arriver à 177 en 2007.
Parmi ces 177 cas enregistrés, 168 sont majeurs, dont une grande partie constituée par la gente masculine, soit 135 cas, contre 33 femmes suicidées. Les mineurs ont aussi appris à se donner la mort, ils ont été 8 garçons et 1 fille à avoir mis fin à leurs jours l?année écoulée, alors que les filles ont été beaucoup plus nombreuses à tenter de se suicider, avec 42 tentatives contre 3 pour les garçons qui ont tenté de mourir. L?acte de renoncement à la vie est devenu une pratique non exceptionnelle dans notre pays. Des spécialistes parlent même de statistiques en deçà de la réalité. Il est vrai que la désertion du champ de la recherche scientifique par les spécialistes et les chercheurs a laissé aux services de sécurité le seul soin de recenser les cas de suicide, ce qui réduit les chiffres aux seuls cas traités par ces services, alors que le phénomène est plus important. Certaines familles dissimulent la cause de disparition de leur proche pour ne pas avoir à supporter la charge de la condamnation religieuse et sociale qui pèse sur le recours à l?acte de mort volontaire. Il est d?ailleurs souvent constaté que le suicide est perçu comme un acte répréhensible dont l?aboutissement constitue le début d?une condamnation collective que devra supporter toute la famille des années durant. Donc si le suicidé se délivre d?une charge, il transmet à son entourage la lourde tâche d?essayer de comprendre lorsqu?il est trop tard le sens et les raisons de son acte. Les familles arrivent mieux à gérer lorsque la tentative de suicide échoue. L?appel au secours du candidat au suicide devenant audible et le recours au psychiatre est encore possible. Les tentatives de suicide, qui sont un signe de détresse, sont encore plus nombreuses que les suicides qui aboutissent. 559 tentatives de suicide ont été recensées durant l?année dernière par la direction de la sûreté publique contre 575 en 2006 et 358 en 2005. Si les femmes étaient moins nombreuses à tenter de se suicider en 2007, avec 188 cas contre 326 pour les hommes, elles ont toujours été supérieures en nombre durant les années écoulées dans le cas des tentatives de suicide. C?est d?ailleurs la première fois en cinq ans que les tendances sont inversées en matière de tentative de suicide. Elles ont été 318 à tenter de se suicider en 2006 contre 163 hommes. Alors qu?une année auparavant, les femmes avaient été 190 à tenter la mort contre 124 hommes, et 238 contre 158 en 2004.
Les femmes sont plus enclines aux tentatives de suicide
Les scientifiques estiment que les femmes sont plus enclines aux tentatives de suicide qu?au suicide, car il s?agit d?appels au secours qu?elles lancent, plutôt qu?une réelle envie de mourir. Pour ce qui est des raisons menant au suicide, l?étude effectuée par la DSP montre que le phénomène du suicide touche particulièrement les couches défavorisées. Si la dépression est généralement la cause directe du suicide, les conditions socioéconomiques sont aussi des facteurs d?exacerbation de l?état dépressif. Ainsi les chômeurs sont souvent les premiers sur la liste des suicidés, signe que le marasme social peut fragiliser encore plus les personnes déjà vulnérables psychologiquement. D?autres facteurs aggravants sont aussi recensés, tels que les problèmes familiaux, les troubles psychiques, les déceptions sentimentales et l?honneur. Lorsque l?envie de mourir se manifeste et se fait pressante, le candidat au suicide use, selon les cas, de moyens susceptibles de rendre son triste projet concret. Produits chimiques, barbituriques, chutes volontaires, pendaison, asphyxie au gaz ainsi que l?emploi d?armes à feu et objets tranchants sont autant de moyens utilisés pour mettre en application l?ultime acte de désespoir. Les statistiques des services de la Gendarmerie nationale font état, pour leur part, de la prévalence du suicide chez la tranche d?âge comprise entre 18 et 30 ans avec 50 cas sur 128, suivie des personnes dont l?âge varie entre 30 et 45 ans avec 39 cas, et 20 autres cas ont été enregistrés pour les personnes de plus de 45 ans et 16 cas pour les mineurs. Les chômeurs arrivent en tête du classement du nombre de suicidés avec 75 cas et 102 tentatives de suicide. La répartition géographique des suicides fait apparaître 17 cas enregistrés dans la wilaya de Béjaïa, suivie de Tizi Ouzou avec 9 cas, et Mila et Relizane avec 6 suicides, talonnées avec 5 cas par les wilayas d?Alger et de Mascara. Le classement de la police confirme la première place pour la wilaya de Béjaïa avec 20 suicides, suivie de Tizi Ouzou aussi avec 18 cas, de Tiaret avec 13 cas, de Constantine avec 12 cas et à des degrés moindres de Mascara, de Batna et de Djelfa.
Nadjia Bouaricha
LU POUR VOUS
PAR
ABDENOUR SI HADJ MOHAND
bonjour mon nom de famille est FEKROUNE nous sommes de Corfa pres de Ahnif je me demande qui est ce FEKROUNE ramdhane que personne de la famille nous a parle de lui svp
30 mai, 2008 à 13:01Bonjour,
30 juillet, 2009 à 17:24Je suis la fille de Mezaber Mohamed(soldat juqu’en 1962) né en 1935 et de Mezaber Louisa(fille de Mohand-Ameziane: maire D’Aghbala jusqu’en 1962 et mort pour la France).Mes parents et grand-père étaient en étroite relation avec le lieutenant Laffont du 22eme bca.Aussi, aujourd’hui presque 50 ans après la fin de la guerre d’Algérie, mes parents depuis des années sont à la recherche du Lieutenant Laffont (qui aujourd’hui est peut-etre Général).Aussi, nous remercions toute personne ayant des informations sur le Général Laffont de nous en informer car toutes nos recherches sont restées vaines.
Merci et au plaisir de vous lire très bientot.
salut pour tous les sportif de hanif
4 septembre, 2009 à 18:53Azul,
merci de rajouter ce lien ( rubrique Livres)
Un grand bonjour à vous tous.
2 février, 2010 à 13:54AZUL FELLAWEN;
THAMELLAHTH, DHANWA URNSIN ARA THAMELLAHTH, THAMOURTH IDYORWEN KHIRLA KIZMAWEN, THAMOURTH TATHOWRITH (93 CHAHIDS) ATH NYERHEM REBI, AKEN I DENAN KHERLA I MENAWEN : « AMOUJAHED ORNESIN ARA NEGH UR DEN3EDA ARA SI THMELLAHTH MAJI DHAMOUJAHED ».
28 octobre, 2010 à 18:26ALORS ILAK ASENFEK AZAL NESS ITHMELLAHTH DHEG NEZRO NEGH (il faut qu’il donner à THAMELLAHTH sa vraie histoire qui est très riche).
ALORS POUR N’OUBLIER PAS TOUS NOS CHAHIDS, LES JEUNES VOLONTAIRES DE VILLAGE DE TIKSRAI DECEDENT DE FAIRE UN HOMMAGE A L’UN DE CES HEROS « MECHEDOU MESSAOUD » AU NIVEAU DE PREMAIRE DE NOS VILLAGE LE 31 OCTOBRE 2010 A PARTIR DE 9 :00.
L’INVITATION EST OUVERTE POUR TOUT LE MONDE ET POUR QUI CONNAISSE THAMELLAHTH.MERCI.
.THANMIRTH NWEN.
salam alikoum imalahen c juste pour informer notre villagois du décès de hadj said sadouni merci a bientôt
4 décembre, 2010 à 23:01je veux avoire un mote sure mon ancle rezki arabe qui a servie la francz a haizer merci
22 décembre, 2010 à 17:38mes condoléances a la famille amara de ahnif centre et de ighzer oumeziav
par la triste nouvelle du décès du regrettée mère et grande mère arabe louiza la femme de amara ali, dieu tout-puissant d’accorder au défunte sa sainte miséricorde et de l’accueillir en son vaste paradis ADIEU NOUS APPARTENONS ET A LUI NOUS RETOURNONS
décédée 18 février 2012
20 février, 2012 à 19:22aomar mahmoudi écrivain scénariste et un grand karatéka originaire de ahnif m’chédallah « AHAMAM »pour la sortie de mon prochain Roman qui sera adapté dans le cinéma en France,BONNE LECTURE MES COMPATRIOTES .
4 février, 2013 à 12:13pour quoi cette repture de mise a jour de site?
4 février, 2013 à 20:38