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Ahnif : Le programme des 100 locaux compromis

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Le projet de réalisation des 100 locaux professionnels, affecté il y a plus de trois années à la commune d’Ahnif, dans la daïra de M’Chedallah, n’est toujours pas lancé.

 

L’assiette de terrain devant recevoir ce projet, tant attendu par la population de la région, notamment les nombreux jeunes chômeurs, a pourtant été choisie par la commission de la daira de M’Chedallah. Il s’agit d’une parcelle appartenant à l’APC, située à mi-chemin entre le chef-lieu communal et le village Doba, avons-nous appris auprès d’un élu local. Un endroit jugé par les futurs occupants de ces locaux, du moins ceux que nous avons interrogés, incommode pour l’exercice des activités commerciales, en raison de son isolement et son éloignement des zones urbaines. Du côté des responsables communaux, la raison avancée quant au choix de ce terrain est le manque, voire l’absence totale d’autre alternative, vu le déficit foncier qui frappe la commune, une contrainte qui constitue un véritable casse-tête pour les élus locaux.

 

Un aléa qui entrave le lancement ou l’inscription de nombreux projets. Par ailleurs, le projet de réalisation d’un CEM au village Ighrem, à cinq kilomètres du centre urbain, inscrit il y a plus d’une année, n’est toujours pas lancé, et cela pour le même problème de l’inexistence d’un terrain d’assiette. Il importe de souligner que les 20 locaux commerciaux précédemment réalisés par la commune, près de l’endroit choisi pour l’implantation des nouveaux locaux professionnels, sont laissés à l’abandon, et leur état se dégrade chaque jour d’avantage sans que personne n’intervienne pour limiter les dégâts.

 

Par Nadia Hamani

Ighrem: Les commerçants des produits d’artisanat déménagent

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  • La poterie quitte Ahnif

Ighrem: Les commerçants des produits d'artisanat déménagent dans Ahnif Infos 2313_80666

Le hic est que ces malheureux artisans ont quitté leur localité à cause de l’ouverture du tronçon de l’autoroute qui relie Lakhdaria à Bouira, évitant non seulement la contrée de Kadiria, mais aussi l’ancienne RN5, axe sur lequel jalonnaient de nombreux commerçants activant dans le secteur de l’artisanat… Quelques années plus tard, le même phénomène s’est reproduit au niveau de la localité d’Ighrem avec l’ouverture du dernier tronçon de l’autoroute qui relie Bouira vers l’Est du pays.

L’ouverture du tronçon autoroutier Est/Ouest qui a traversé la wilaya de Bouira sur une distance de 101 km dont une grande partie est achevée, voire en exploitation sur une distance d’au-moins 90 kilomètres, a été sans aucun doute un grand acquis.  Par son biais, de vastes horizons de développement, voire d’investissements, s’ouvrent à la wilaya. Mais les gains ne se résument pas à ces points positifs, du moins pour le moment, car certaines régions commencent à en subir les premiers méfaits de cet acquis, en particulier sur le plan économique et commercial. L’exemple le plus frappant à signaler au niveau de la localité d’Ighrem, relevant de la commune d’Ahnif est la ruée de commerçants qui activaient dans l’artisanat, à l’image de l’habit traditionnel, de la poterie… Ainsi, depuis deux années, pas moins d’une vingtaine d’artisans ont investi au niveau de cette localité des sommes considérables.

Certains d’entre eux, avaient construit en dur dans l’optique de se sédentariser, vu qu’ils avaient quitté leurs localités, faute de clients et de méventes de leurs produits, en particulier les commerçants venus de Kadiria, Aomar-gare… Le hic est que ces malheureux artisans ont quitté leur localité à cause de l’ouverture du tronçon de l’autoroute qui relie Lakhdaria à Bouira, évitant non seulement la contrée de Kadiria, mais aussi l’ancienne RN5, axe sur lequel jalonnaient de nombreux commerçants activant dans le secteur de l’artisanat…

Quelques années plus tard, le même phénomène s’est reproduit au niveau de la localité d’Ighrem avec l’ouverture du dernier tronçon de l’autoroute qui relie Bouira vers l’Est du pays. Ainsi, ce sont les usagers de pas moins de 20 wilayas de l’Est qui, d’un seul coup cessent de fréquenter l’ancienne route. Par voie de conséquence, c’est un manque immense en clientèle qui fut enregistré. « Avant, c’est au minimum quatre ou cinq clients par jour que nous recevons, qui pour acheter une jarre, l’autre un service à café en belle poterie. Sinon, c’est une jolie robe kabyle… Maintenant, ce chiffre est le maximum de notre activité, même si actuellement nous ne sommes pas assez nombreux à activer au niveau de la localité », a voulu signaler un de ces commerçants rencontrés aux abords de la RN5. La seule solution qui se présentait devant ces « nomades » était de reprendre une autre activité. Aux dernières nouvelles, ils se seraient dirigés vers les localités nord de la rentrée de Bouira et de la localité de Aïn Turck, où les sites s’y prêteraient mieux à leur activité.

Mais additivement à ceci, les conséquences touchent aussi les commerces au bord de la RN 5 au niveau des différentes communes, à l’image d’El Esnam, Bechloul, Adjiba et enfin celle d’Ahnif… le constat est amer avec une chute brusque du rythme d’activité nous avons constaté les parkings vides des commerces, à l’image des cafés, restaurants, motels et diverses autres activités commerciales.

« Auparavant, on travaillait beaucoup avec les passagers, soit voyageurs dans des taxis ou des bus, maintenant tous le monde est pressé. Le choix porte toujours sur l’emprunt de l’autoroute plutôt que la RN5″,  a affirmé un gérant d’un restaurant qui reste dans la méditation, de changer d’activité ou de chercher un autre endroit pour continuer à exercer son commerce. Toutefois, ces produits d’artisanat proposés à la vente ne sont pas tous des produits du terroir, bon nombre d’articles proviennent de Tunisie et même de… Chine !!

Cependant, de nombreuses années durant, ces revendeurs se sont constitués une clientèle assez fidèle, composée en majorité d’automobilistes empruntant ce réseau routier. « Les fêtes de l’Aïd, les fins d’années et autres rituels nous permettaient de réaliser un chiffre d’affaire non négligeable, sans compter les voyageurs se rendant à l’aéroport quotidiennement et qui passaient dans nos boutiques pour acheter des souvenirs du pays », déplore un marchand de souvenirs originaire de Kallous.

En fin de compte, l’autoroute n’a pas fait que des heureux !

F. K.

EPSP d’Ahnif…Un siège trop exigu

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EPSP d’AhnifUn siège trop exigu

L’établissement public de la santé de proximité de M’chedallah crée en mai 2007 et opérationnel depuis janvier 2008, dont la circonscription couvre 2 daïras (M’chedallah et une partie de Bechloul) fonctionne avec la tête à Chorfa et l’esprit à… Ahnif.    Sur tous les documents administratifs et ordonnances de ce service est apposé l’entête EPSP Ahnif, alors que le siège de la direction se trouve à Chorfa, occupant une aile de la polyclinique de cette localité qui s’avère très exiguë pour cette direction qui comprend plusieurs services ainsi qu’un volumineux programme d’activités.

En effet, l’EPSP d’Ahnif compte dans sa circonscription pas moins de 26 unités de soins, 4 polycliniques, 4 unités de dépistage sanitaire (UDS), réparties à travers les lycées Ben Badis à M’chedallah, les deux lycées de Chorfa et Aghbalou et le CEM Amrouche-Mouloud à M’chedallah et enfin 7 bureaux d’hygiène communaux (BHC) répartis à travers la daïra de M’chedallah. A quoi obéit ce choix d’Ahnif pour l’implantation du siège de la direction de l’EPSP avant même qu’un terrain d’assiette devant recevoir cette administration ne soit dégagé ? Un choix stratégique ou politique ? Selon des sources bien au fait de ce dossier, aucune solution n’est trouvée à cette curieuse histoire d’implantation du siège de la direction, deux années après sa création, elle occupe toujours provisoirement une partie de la polyclinique de Chorfa, un provisoire qui risque de s’étaler sur plusieurs années encore. Cet organisme appelé à gérer un secteur hautement névralgique par ces temps de pandémie de toutes sortes, qui font planer des risques réels sur la santé publique, ne doit-il pas bénéficier de plus d’égard ? C’est un cas sur lequel doivent se pencher les pouvoirs publics et pour lequel, ils doivent accorder une priorité absolue eu égard à la situation sanitaire alarmante qui y règne à travers le territoire national et au rôle hautement stratégique de ce secteur au sein de la population ; un secteur qui ne doit souffrir d’aucune contrainte pour mener à bien sa noble et délicate mission pour l’application stricte de son programme d’action, dont n’importe quelle défaillance, aurait des répercussions négatives sur la santé publique. D’autant plus que la responsable en charge de la gestion de l’EPSP Ahnif, le docteur Khedis dont les compétences ne sont plus à démontrer, une responsable qui doit être solidairement épaulée par les pouvoirs publics pour gagner la rude bataille qu’elle mène pour l’amélioration des prestations de service, ne serait-ce que par une dotation suffisante en moyens, à commencer par un siège de direction adéquat pour une stabilité bénéfique.

Oulaid Soualah

Six stations-service à réaliser

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Six stations-service à réaliser

Six stations-service verront leur réalisation lancée en 2010, sur l’itinéraire de l’autoroute Est-Ouest traversant la wilaya de Bouira, parallèlement à plusieurs projets de routes qui relieront, entre autres, les wilayas de Béjaïa et Tizi Ouzou à l’autoroute Est-Ouest, respectivement via Ahnif (Bouira) et Djebahia et Draâ El Mizan, a-t-on appris du directeur des travaux publics. Le même responsable fait état également d’un programme de modernisation de 25 km de routes nationales et la réalisation de quatre nouvelles annexes de DTP au niveau des daïras, en plus d’un nombre de maisons cantonnières et autres projets de désenclavement.

élections sénatoriales à Bouira

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Le candidat du FLN remporte les élections sénatoriales

Le président de l’APW de Bouira, M. Gaci Abdelkader (FLN) a remporté les élections sénatoriales au niveau de Bouira et décroche à cet effet le siège au Sénat. Après le décompte des voies exprimées, celui-ci a obtenu 135 voix, suivi du candidat du RND M. Sbaihi, P/APC de Kadiria, avec 105 voix puis d’un autre candidat du FLN, M.  Nouri, qui a pu réunir 97 voix des suffrages exprimés. Mais il est utile de faire un retour sur cette échéance relative au renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation, dont le déroulement a connu plusieurs bouleversements au sein de certaines formations politiques.
Les 383 élus APC et 39 membres de l’APW ont été appelés, dans la journée de mardi dernier, à choisir, parmi cinq candidats, le remplaçant du sénateur du RND au niveau du Conseil de la nation, dans le cadre du renouvellement partiel de la chambre haute. Les candidats en lice sont M. Mechedou, candidat et élu FNA au niveau de l’APC d’Ahnif, M. Sbaïhi, candidat RND et maire de la commune de Kadiria, M. Hamouche, candidat indépendant à l’APW de Bouira sous la bannière FNA, vient ensuite le FLN qui se présente dans une situation qualifiée par les observateurs de la scène politique de rocambolesque, car les élus FLN sont contraints de choisir entre l’actuel P/APW de Bouira, Gaci Abdelkader, mandaté et agréé par le secrétaire général du FLN et Nouri Mohamed, mouhafedh FLN à Bouira et maire de la commune de Aïn Bessam et non moins vainqueur des élection primaires organisées par l’ex-parti unique début décembre pour départager les différents concurrents de cette formation. Si les partisans du premier se disent respecter la décision de leur direction, ceux du second, même s’ils ne s’affichent pas ouvertement, ils se suffisent du contenu des bulletins de vote, où le mouhafedh est inscrit comme candidat officiel du FLN alors que le
P/APW l’est comme candidat indépendant. Un véritable casse-tête qui risque de creuser, un peu plus, le fossé qui existe entre les représentants et élus de ce
parti et dont les antécédents remontent à l’année 2004. Il y a lieu de préciser que la composition des grands électeurs pour les différents partis représentés au niveau des assemblées élues s’établit comme suit : FLN 125 élus, le RND 125,  le FNA et le RCD 43 chacun, le FFS 65 et le MSP 19 élus. Dans la matinée de mardi dernier, nous avons appris que, par discipline partisane, les élus du parti d’Ouyahia avaient tous voté entre 8 h et 10 h, alors que ceux du FFS, qui a décidé de boycotter cette échéance, furent conviés à Alger dans le cadre d’un séminaire des élus organisé par le parti d’Aït Ahmed. Durant toute la journée de mardi, les allées et venues des différents élus étaient incessantes au siège de l’APW et les discussions entre électeurs étaient orientées vers les chances qu’ont les uns et les autres candidats en lice de décrocher un siège au Sénat et représenter ainsi la wilaya. A quelques heures du dépouillement des voix,
l’ensemble des élus était rassemblée près du siège de la wilaya, tandis que cette ambiance électorale n’a guère eu d’intérêt pour les citoyens, pour la simple raison qu’en ces derniers jours de l’année 2009 les préoccupations des citoyens de la ville de Bouira étaient tout autres. En tout état de cause, il y a lieu de dire que les questionnements quant à l’issue de ce suffrage et les prédictions que la présence de deux candidats FLN allaient profiter au candidat RND, se sont avérées de simples débats destinés à animer la scène politique locale.

 

Nacer Haniche

in la tribune

VIRÉE EN KABYLIE, UNE RÉGION MEURTRIE PAR LE TERRORISME

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Bouira : cap sur le développement tous azimuts

Un groupe de terroristes stationnés près de Zbarbar attendrait de se rendre depuis plusieurs semaines, selon nos sources, signe évident d’un changement dans cette région qui avait établi sa réputation sur l’insécurité totale, et qui a vécu l’enfer.

En vérité, ici l’ensemble de la zone montagneuse comprenant les wilayas de Bouira et de Tizi Ouzou, en poussant jusqu’à Boumerdès et le littoral, semble connaître une accalmie depuis au  moins deux à trois mois. De faux barrages continuent pourtant, de manière épisodique, à être signalés, organisés pour détrousser les citoyens de leurs biens. Quant aux monts de Zbarbar, à 600 m d’altitude, ils forment une partie de l’Atlas blidéen relevant de la wilaya de Bouira, où sont implantées les daïras de Lakhdaria, El-Kadiria et Souk El-Khemis. La route, qui conduit vers Zbarbar à partir de Lakhdaria, est un sinueux chemin de wilaya qui grimpe sans cesse pour aboutir à un chef-lieu qui souffre d’un enclavement préjudiciable aux conditions de vie des habitants qui manquent de l’essentiel, comme l’eau potable ramenée des sources ou des puits, et du gaz naturel, beaucoup continuant à cuisiner et à se chauffer avec le bois. En outre, le transport scolaire est inexistant, ce qui oblige les élèves à parcourir plusieurs kilomètres à pied pour rejoindre leur établissement, tandis que le réseau routier reste impraticable pour nombre d’agglomérations environnantes.
Mais le boom économique a réellement commencé il y deux à trois années, promettant d’installer Bouira et toute la région située à des centaines de kilomètres à la ronde, dans l’ornière d’un développement salutaire à plus d’un titre. D’abord, dans la commune de Bechloul, le barrage de Tilesdit d’une capacité de 167 hm3, inauguré par le président de la République il y a deux ans, a permis d’améliorer la dotation en eau potable pour près de 300 000 habitants répartis sur une douzaine de communes et l’irrigation de près de 7 000 hectares de terres agricoles. Et surtout, le chantier en voie d’achèvement du 2e plus grand barrage du pays, après celui de Béni Haroun (Mila), en l’occurrence Koudiat-Acerdoune, situé sur l’oued Issers au cœur du massif de Zbarbar, a permis une stimulation exceptionnelle de l’environnement socioéconomique, notamment au niveau de l’emploi et de la main-d’œuvre, avec un flux d’entreprises PME/PMI de la région et d’ailleurs, vers le secteur du bâtiment et des travaux publics. L’on peut dire que la wilaya de Bouira, jusque-là demeurée à la périphérie du développement, a pris son envol à partir de ce genre de mégaprojets structurants alliés à sa situation géographique de lien entre l’Est, le Sud et le Centre, et dopée par les différents programmes de développement dont elle a bénéficié, en grande partie destinés à de nouvelles constructions, de nouveaux chantiers. L’objectif de Koudiat-Acerdoune, rappelons-le, est de créer une réserve d’eau de 640 millions de m3. Il doit permettre de consacrer 100 millions de m3 d’eau par an à l’irrigation et 70 millions de m3 par an à l’alimentation en eau potable pour la région du Grand-Alger (8 millions d’habitants). Dans ce même contexte, un projet de transfert des eaux est en voie de réalisation depuis ce barrage de grande envergure de Koudiat-Acerdoune au bénéfice de 5 communes de la wilaya de Bouira et 8 autres dans la wilaya voisine de Tizi Ouzou.

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Bouira Visite de Amar Ghoul

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  • L’ouverture de l’échangeur d’El-Adjiba reportée

La bretelle de liaison échangeur autoroute RN 5, d’El-Adjiba a fait l’objet d’une visite d’inspection hier matin du ministre des Travaux publics Amar Ghoul. Ce dernier venu procéder à l’ouverture de cette bretelle fera remarquer au responsable de l’ANA qu’il fallait impérativement achever la réalisation des protections latérales pour éviter l’agression de la chaussée et que la signalisation routière doit être installée en urgence avant de procéder à l’ouverture de cet échangeur. Un échangeur d’une longueur de 2325 mètres, composé d’un ouvrage d’art réalisé en tablier double.

En plus de l’impact socio-économique pour la région, cette bretelle permettra, une fois ouverte à la circulation un accès important vers les wilayas de Béjaïa, Tizi-Ouzou et Jijel, tout en désengorgeant la RN 5, notamment les villes de Bechloul et d’El Esnam. Le ministre a également longuement insisté sur les finitions des travaux tels l’éclairage, les panneaux indicatifs et directionnels.

Sur place, le wali de Béjaïa apprendra de la bouche même du ministre que le projet de l’autoroute Bouira – Béjaïa via l’échangeur d’Ahnif sera entièrement pris en charge par son département puisque l’enveloppe financière est prête, aussi bien pour la réalisation du projet que pour l’indemnisation des expropriés. Ce projet qui s’étend sur une distance de 80 km permettra de désenclaver l’arrière pays et les zones de montagne à l’image des localités de Béni Maouche, Béni Ouartilane, Béni Mouhli, etc.

Le ministre dira à ce propos qu’il s’agit d’un beau cadeau de fin d’année pour la wilaya de Béjaïa qui avait besoin de ce projet.

Enfin, le tronçon Zennouna-El Biban, wilaya de Bordj Bou Arréridj sur un linéaire global de 33 kilomètres et 25 km d’axe principal, a été ouvert hier à la circulation. A noter que sur l’axe Bouira -Boumerdès au niveau du tunnel de Bouzegza, les travaux suivent leurs cours normalement et devront être achevés dans les délais, c’est-à-dire juillet 2010.

Hafidh B.

 

 

 

 

Bouira Mouvement de grève des praticiens de la santé

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      Le SNPSP organise un sit-in devant la DSP

Près d’une cinquantaine de médecins généralistes et chirurgiens-dentistes affiliés au Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) ont observé hier matin un sit-in de plus d’une heure devant la direction de la santé de Bouira pour dénoncer ce qui est qualifiée « …d’attitude ambivalente du ministère de la Santé… » Des médecins venus essentiellement de l’EPSP d’Ahnif et des EPH de Bouira ainsi que de M’chedallah se sont constitués en délégation pour remettre au DSP de Bouira une plateforme de revendications dans laquelle le SNPSP s’insurge contre le « rejet du projet de décret portant statut particulier des praticiens généralistes de la santé publique. Projet finalisé de manière unilatérale par le ministère de la Santé sans l’accord du partenaire social. » Pour l’un des syndicalistes rencontrés sur les lieux, il s’agit d’une grève « imposée par le ministère de la Santé ».

Et d’ajouter qu’à partir de lundi prochain le mouvement va se durcir et qu’une grève ouverte sera déclenchée jusqu’à l’aboutissement des revendications soulevées. Pourtant, selon le docteur Abderrahmane de l’EPSP d’Alger, les médecins généralistes sont entièrement disponibles à soutenir la campagne de vaccination de grippe A/H1N1 qui se prépare et que le service minimum est assuré au niveau des structures sanitaires de la wilaya.

A propos toujours de ce virus, le médecin mettra l’accent sur la nécessité d’observer les mesures de préventions strictes et régulières pour éviter de contracter cette maladie.

Hafidh B.

 

EPSP Ahnif

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Une structure à renforcerNotons que chacune de celles -ci dispose d’un laboratoire spécialisé dans l’une des branches de la médecine, comme c’est le cas par simple exemple à M’chedallah, où il y a un laboratoire de bacilliforme, et celui de dépistage du cancer du col utérin et celui de bactériologie (MTH) au niveau de la polyclinique de Ahnif, de biologie à Aghbalou ; une maison des diabétiques à Chorfa ; et plusieurs services sont assurés dans cet établissement, notamment celui de l’UCTMR (ex DAT), de médecine du travail, et celui de la santé mentale ; et une cellule d’écoute au niveau de la  polyclinique de Ahnif assurée par des psychologues recrutés dans le cadre du prè-emploi.

Le secteur sanitaire dans la daïra de M’chedallah connaît ses avantages et ses inconvénients, comme partout ailleurs dans le pays ; et dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions du décret exécutif n° 07-140 du 19mai 2007, portant création, organisation et fonctionnement des établissements publics hospitaliers et des établissements publics de santé de proximité, fonctionnel depuis le 02/01/2008,  et dont le siège provisoire sis à la policlinique de Chorfa.

L’EPSP Ahnif assure une couverture sanitaire d’une population de 110497 habitants environ ; repartie sur 02 daïras composées de 07 communes qui sont comme suit M’chedallah, Ahnif, Chorfa, Aghbalou, Saharidj, Ath Mansour dans la daïra de M’chedallah et celle d’Al Adjiba dans la daïra de Bechloul.

Le siège de l’établissement est distant de 40 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Bouira, et situé sur un axe routier très connu par l’importance de son trafic, et qui est d’une superficie de 565 km2 et d’une densité de 197 hab/km2, du fait qu’il présente un carrefour entre les wilayas de Béjaïa, Bouira, BBA et Tizi Ouzou (RN 26-RN 05- RN 15 – RN 30) ; sans oublier que cet établissement est composé de 26 salles de soins reparties sur les villages qui les composent, et 04 polycliniques qui à leurs tours sont reparties sur les chefs-lieux des communes.

Notons que chacune de celles -ci dispose d’un laboratoire spécialisé dans l’une des branches de la médecine, comme c’est le cas par simple exemple à M’chedallah, où il y a un laboratoire de bacilliforme, celui de dépistage du cancer du col utérin de bactériologie (MTH) au niveau de la polyclinique de Ahnif, de biologie à Aghbalou ; une maison des diabétiques à Chorfa ; et plusieurs services sont assurés dans cet établissement, notamment celui de l’UCTMR (ex DAT), de médecine du travail, ainsi que celui de la santé mentale ; une cellule d’écoute au niveau de la  polyclinique de Ahnif est assurée par des psychologues recrutés dans le cadre du prè-emploi. Une (01) salle de soins à Ighzer-Oumeziab inscrite par la commune de Ahnif est en cours de réalisation. En matière d’activités, l’ensemble des unités de soins s’acquitte convenablement de leur mission de prise en charge des besoins de la population en soins primaires et de prévention ; toutes les structures implantées au niveau des chefs-lieux des communes disposent d’un médecin et d’un chirurgien dentiste à temps plein ; pour les autres, situées en zone rurale, elles sont visitées par le médecin une à deux fois par semaine, là où le transport est assuré par l’APC. Et on constate que tous les programmes nationaux sont exécutés d’une façon permanente et continue sous la supervision du SEMEP. L’activité de santé scolaire est intégrée au niveau de toutes les structures disposant d’un médecin à temps plein ou à temps partiel, en plus des UDS au nombre de quatre qui disposent d’un médecin et d’un infirmier à titre permanent : la population  des élèves est de 20946. Le nombre des établissements scolaires est de 79 (lycées ; écoles primaires ; écoles moyennes). Les BHC qui sont au nombre de 07 assurent la surveillance de quelques 526 points d’eau et assurent aussi la surveillance des châteaux et réservoirs d’eau, les décharges sauvages, décharges contrôlées, ainsi que les cabinets médicaux privés et spécialisés ; cabinets dentaires privés ; de psychologie ; une sage-femme (maternité) ; des officines pharmaceutiques publiques et privées. Concernant ce volet des unités extra hospitalières, les APC devraient s’impliquer davantage dans l’entretien et la maintenance de ces salles de soins conformément à la loi.

A déplorer toutefois le manque des paramédicaux dans cet établissement, ce qui inflige un manque en prestations de service.

Afin de combler de déficit, un concours de recrutement est organisé ces jours-ci pour renforcer ses unités en main d’œuvre.

Yazid H.

Ahnif Le chef-lieu de la commune coupé en deux par la voie ferrée

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Les citoyens veulent un passage sécuriséLa commune d’Ahnif, située à 40 km à l’est de Bouira, où se trouve la gare ferroviaire, est coupée en deux par la voie ferrée.

Ainsi, pour se rendre d’un côté à l’autre, notamment au siège de l’APC, il faudrait faire un détour de presque un kilomètre en rejoignant la RN5.

Les citoyens avaient à maintes reprises fait part aux responsables concernés de cette inconvenance tout en les exhortant de trouver une solution idoine, comme construire un passage afin de leur permettre de se déplacer en toute quiétude et sécurité. Une passerelle réglerait à moitié le problème, d’autant plus, selon un citoyen, la région est connue pour sa vocation agricole, les gens travaillent leurs terres et utilisent les engins agricoles.

Il y a aussi les éleveurs de cheptels, des bergers qui traversent la voie ferrée pour aller paître leurs troupeaux. Ce n’est, hélas pas le seul souci des citoyens d’Ahnif. Une école primaire jouxte la voie ferrée.

Quotidiennement, on rencontre des bambins qui marchent le long de la voie ferrée pour se rendre à l’école ou pour rentrer chez eux, un danger au quotidien qu’il ne faudrait surtout pas négliger ou prendre à la légère, vu le nombre de personnes fauchées par les trains.

R. B

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