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M’Chedallah Le calvaire des usagers s’éternise

La gare routière en piteux état

Ce qu’on qualifie démesurément d’agence du transport de voyageurs du chef-lieu de daïra, qui desserve plusieurs destinations hors wilaya enM’Chedallah Le calvaire des usagers s’éternise  bouira_1258997-300x179 plus de l’ensemble des communes de la daïra, n’est en fait qu’un petit terrain dont le seul équipement qui caractérise l’activité à laquelle il est prédestiné, est deux abribus délabrés et quelques bordures qui limitent sa surface et rien de plus.  Pourtant, cette surface, qui reçoit quotidiennement plusieurs dizaines de fourgons aménagés qui desservent l’ensemble des communes et des bus intervenant sur les grandes lignes et des milliers de voyageurs, s’est faite de 2 minuscules bandes de terre qui enregistrent quotidiennement embouteillages et bousculades, depuis plus d’une vingtaine d’années, sans qu’elle bénéficie d’une opération d’aménagement pour améliorer l’état des lieux, exception faite pour la construction de toilettes publiques et d’une buvette. La surface proprement dite des sentiers se transforme en véritable bourbier à la moindre averse de pluie et le tout est couronné par une anarchie totale qui donne à cet arrêt l’aspect d’un souk ou d’une foire foraine. Bien mieux, les deux édifices mitoyens de l’arrêt sont l’hôpital et la polyclinique qui abritent aussi le service des urgences. Ces deux services de la santé sont dérangés par le bruit, chaque jour, à partir de 05h du matin, au moment même où les malades hospitalisés, que la douleur empêchait de dormir, commençaient à fermer l’œil terrassé par la fatigue. L’état peu honorable de cet important arrêt de bus persiste au moment où tout un charivari est déclenché un peu partout à travers le pays autour de l’amélioration, sinon de la modernisation des moyens d’accueil et du transport de voyageurs d’autant plus que cet arrêt, situé en bordure d’un boulevard modernisé à l’entrée Sud de l’ancienne ville de M’Chedallah, constitue, à l’heure actuelle, un point noire qui dévalorise sensiblement ce boulevard.

Oulaid Soualah

5 février, 2013 à 9:46 | Commentaires (0) | Permalien


Ahnif : Tiɣri i lwali

Imezdaɣ n taddart n Aḥnif, widen iwumi ttwakksent tferkiwin mi akken iɛedda ubrid ameqran Asammar- Amalu,  gren tiɣri I lwali n Tubiret ilmend n maḥyaf i ttqabalen. Imdanen-a, iwumi yettwaṛeggem lexlas n wayen i asen-iruḥen deg usenfar-a, ur dmin ara belli tadrimt ara d-awin d tin yecban tin i asen-d-yettwaheggan. Di tmuɣli nsen, azal n tferka, neɣ tazemmurt yettwaqelɛen d win i ilaqen ad yili almend n teswiɛt ideg yettidir umdan tura. Ugin ad qeblen ssuma yellan seg zik, tura mi akken zzit n uzemmur tewwed ɣer 350 n yidinaren, d wakal yettnuzun s wazal n ɛecrin alef n yidinaren i yiwet n lmitra.
Tiferkiwin-a yettwakksen i yimdanen,  tid ara yilin d imukan n usgunfu i yimsibriben, sseglant-d s uqlaɛ n waṭas n tzemrin d tleqqamin, am waken daɣ i llan lebyur iwumi uɣalent tidima, ur zmiren ara yimawlan nsen ad ten-sxedmen.
D ayen i yeǧǧan imdanen i tḥuza taluft-a ad ssutren seg yimḍebber amezwaru n twilayt iwakken ad yessali ssuma n tzemmurt ɣer xemsa n yimelyunen n ssantim, taleqqamt ɣer sin n yimelyunen n ssantim, d lbir ɣer 200 n yimelyunen n ssantim.
Nnig n waya, bɣan daɣ yimezdaɣ-agi ad  sfaydan s yiwen n usenfar n lebni ara ten-yesdukklen.

Sylia. M

16 février, 2011 à 15:10 | Commentaires (0) | Permalien


Une sûreté urbaine retenue pour Ahnif et Chorfa

tata10.jpgDans le cadre de son renforcement par de nouveaux dispositifs sécuritaires, la daïra de M’Chedallah, située à 40 km à l’est de Bouira, et comptant parmi les plus importantes circonscriptions de la wilaya, s’apprête à recevoir son unité de la Brigade Mobile de la Police Judiciaire (BMPJ).

L’implantation du siège de cette unité des services de sécurité, initialement prévue dans la localité de Raffour au bord de la RN 15, a été finalement décidée, à l’entrée sud du chef-lieu de la commune de M’Chedallah, à côté de la nouvelle unité de la Protection Civile au bord de la RN 30. Les travaux de ce projet, tant attendu par la population, lancés il y près de deux années tirent vers leur fin, avons-nous constaté sur le site. De son côté, la commune d’Ahnif, relevant de la même daïra, avait été destinataire d’un projet d’implantation d’une sûreté de daïra. Là encore, la parcelle de terrain qui recevra cette nouvelle infrastructure de sécurité serait déjà désignée et les travaux seront lancés incessamment. L’assiette, devant recevoir la future sûreté urbaine de la commune de Chorfa, est aussi désignée par la commission des choix de terrains de la daïra de M’Chedallah. Ici aussi, les travaux, selon des sources locales, ne tarderont pas à être lancés, au grand bonheur des riverains qui souffrent de l’insécurité. Notons, en outre, que la daïra de M’Chedallah ne compte, en matière d’infrastructures de sécurité, dans son vaste territoire, qu’une sûreté de daïra, trois brigades de gendarmerie et une compagnie territoriale du même corps de sécurité. L’Armée Nationale Populaire est présente dans cette région à travers plusieurs détachements militaires stationnés dans diverses communes comme Ahnif, Ath Mansour et Saharidj. Par ailleurs, le commandant du groupement de la gendarmerie nationale de la wilaya de Bouira, avait annoncé lors d’un point de presse qu’il avait organisé l’année écoulée, que plusieurs brigades de ce corps de sécurité sont prévues dans cette daïra. Ainsi, selon ce responsable les communes d’Aghbalou, Ath Mansour et Ahnif, que ne possèdent toujours pas de brigades de gendarmerie, en seront dotées dans un proche avenir.

 

Nadia Hamani

9 février, 2011 à 11:54 | Commentaires (0) | Permalien


Avis de recherche

Je viens de visiter votre blog.

Tout d’abord je tiens à remercie tous ceux qui ont consacré leur temps à faire et à créer ce débat.  Je suis originaire de Tamalaht et je cherche ma famille là-bas.
Mon grand père a quitté Tamalaht très très longtemps, en 1940 , il s’appelle AMANI ABDELKADER SONT PERE KOUIDER SA MERE ALOU BENT MOHAMED CHABAL

MERCI DE BIEN VOULOIR M’AIDER

21 décembre, 2010 à 13:25 | Commentaires (2) | Permalien


Ahnif / Un groupe de terroristes traqué

De sources crédibles, nous apprenons qu’un groupe de sanguinaires a été repéré et pris en chasse aux alentours du mont Chréa, à cheval entre la commune d’Ahnif et celle d’El Adjiba. Nos sources ajoutent que ce groupe repéré le mardi soir, a provoqué une réaction immédiate des forces de sécurité qui ont d’abord, soumis l’endroit à un intense pilonnage à l’arme lourde durant toute la nuit de mardi à mercredi ; les explosions des obus ont été entendues à des dizaines de kilomètres à la ronde et ont fait objet de commentaires le lendemain, dans toutes les agglomérations des deux daïrates de M’chedallah et Bechloul. A la fin de ce pilonnage qui ressemble plutôt à un tir de barrage, les forces combinées ont enclenché une opération de ratissage et seraient en train de passer au peigne fin la zone où s’est manifesté ce groupe. Notons cependant que jusqu’à jeudi soir, aucun bilan n’a filtré quant aux résultats de cette opération. Rappelons que ce groupe composé d’une quinzaine d’éléments ne cesse de se manifester en divers endroits de ces deux dairates, en se scindant en groupe de 04 a 05 individus depuis plusieurs mois, sans pour autant parvenir à perpétuer leurs sales besognes en raison d’une vigilance sans failles des forces de sécurité qui les suivent à la trace les obligeant à un continuel déplacement pour échapper à l’étau. même les quelques tentatives d’enlèvements et kidnappings ont tous été avortées car étant préparé dans la précipitation pour ne pas dire dans l’affolement. Des renseignements glanés ça et là laissent conclure qu’ils sont aux abois et ont perdu de leur verve. Malheureusement, le démarrage de la campagne oléicole dans ces deux régions rendrait la tâche difficile aux forces de sécurité, en raison d’un important mouvement de citoyens à travers les champs, un mouvement dont profiteraient ces hyènes pour passer inaperçus. La tâche des forces de sécurité serait plus ardue sachant qu’avec le recul de l’insécurité, les agriculteurs ont repris le travail de la terre même les plus éloignées, celles là, mêmes, qu’ils ont délaissées durant les années de braise

Oulaid Soualah

11 décembre, 2010 à 15:47 | Commentaires (0) | Permalien


Ahnif / Des localités en attente du gaz de ville

gaz.jpgLe gaz naturel au niveau de la commune d’Ahnif, à une quarantaine de kilomètres à l’est du chef-lieu de la wilaya de Bouira, alimente le chef lieu de la municipalité ainsi que quelques agglomérations secondaires du village Ighrem et ce, depuis près de trois années. Cependant, d’autres agglomérations, non moins importantes et relevant de la même région comme Ighil Naït Ameur, Tiksrai, Douba et Afouzar, restent, 50 ans après l’indépendance et bien que situées à proximité du gazoduc qui traverse la commune d’est en ouest sur une dizaine de kilomètres dans sa partie sud, dépourvues de cette commodité indispensable. Ce qui alimente encore plus les frustrations de la localité Afouzar, c’est d’être exclue du projet d’alimentation, en dépit de son équidistance de 3 km des deux agglomérations déjà alimentées en gaz de ville. «Une simple décision des autorités nous aurait permis d’être intégrés dans le projet du village d’Ighrem au moyen d’une révision de l’étude et d’une extension, comme cela a été fait pour cheikh Left, qui a bénéficié de l’extension du réseau du chef-lieu de la commune», nous dira un habitant en colère contre cette marginalisation. Un appel est donc lancé par les habitants de ces localités à l’égard des responsables concernés afin de se pencher sur leur cas. En attendant la réaction de ces mêmes responsables, les centaines de citoyens habitant ces villages doivent prendre leur mal en patience.

N. H

6 décembre, 2010 à 14:34 | Commentaires (1) | Permalien


Ahnif / L’eau potable pour bientôt

eaupotable.jpgLe spectre de la soif dont souffre la commune d’Ahnif, relevant de la daïra de M’chedallah, à l’est de Bouira, ne sera, dans un proche avenir, qu’un mauvais souvenir, soit le temps que prendront les travaux d’alimentation de cette localité en eau potable, à partir du barrage Tlesdit, sis dans la commune de Bechloul. Les études préliminaires de cet important projet, sont dores et déjà ficelées et les travaux du projet seront bientôt lancés, apprend-on auprès des sources locales. Les différents comités de village de cette municipalité, quant à eux, suivent avec beaucoup d’attention l’évolution du dossier. Un autre réseau d’AEP est aussi prévu à partir de ce barrage pour alimenter la commune d’Akbou, relevant de la wilaya de Bejaia. Cette même conduite alimentera les deux communes, M’chedallah et Chorfa, lesquelles souffrent en ce moment d’un manque criard en cette denrée rare.  Signalons par ailleurs que, les trois quarts de la population de la daïra de M’chedallah sont actuellement alimentés en eau potable à partir de la phénoménale source El Ainsar Averkhane, sise dans le village Imezdhourar, dans la commune de Saharidj, dont le débit atteint parfois 47L/S. Dans le même registre, il convient de souligner que le nouveau réservoir, d’une capacité de 500 L3, réalisé il y a de cela plus de 5 mois, sur la colline d’Achaivou, surplombant le grand centre urbain de la commune, n’est toujours pas opérationnel. Le problème de ce retard, selon des élus locaux est le refus catégorique qu’ont affiché les responsables de la subdivision hydraulique de la daïra de M’chedallah quant à l’alimentation de ce château d’eau, à partir du réseau principale d’eau potable aimantant la commune de M’chedallah, comme prévu initialement. D’autres sources bien au fait de ce dossier, nous informent que le directeur de la direction de l’hydraulique de la wilaya, avait été instruit par le wali afin de trouver une solution définitive et urgente à ce problème, une solution qui tarde à venir quand on sait que le réservoir commence d’ores et déjà à se détériorer. C’est à ce demander si une étude ficelée avait été faite au préalable pour ce projet qui a englouti une faramineuse enveloppe dépassant les 700 millions de centimes.

N. H. 

                                                                                  

4 décembre, 2010 à 14:14 | Commentaires (0) | Permalien


M’chedallah / Fruits et légumes…sans goût ni saveur

fruitlgumes.jpg«Goût d’hier et qualité d’aujourd’hui», tel est le slogan (et encore d’emprunt) utilisé par ceux exerçant dans ce créneau de fruits et légumes pour promouvoir leur marchandise, des spécialistes qui s’ingénient dans l’achalandage alléchant pour provoquer la gourmandise…visuelle, ce qui ne peut être qualifié que d’un malin «trompe-l’œil». En effet, rares sont les fruits et légumes qui conservent encore quelques traces du goût de jadis, ce goût des fruits cultivés dans nos campagnes en petites quantités, par des paysans à la manière traditionnelle, soit sans serres ni engrais chimiques, se contentant d’engraisser leurs vergers avec du bon fumier d’animaux. Le «dégoût», au sens exact du terme, des fruits et légumes y compris les légumes secs qui sont cultivés dans les fermes, s’explique par l’utilisation de techniques modernes, tel le traitement des semences à base de produits chimiques anti-rouille sous prétexte de les protéger contre les insectes, notamment les fourmis. En outre, la majorité de ces matières agricoles sont cultivées sous serres, soit sous un climat artificiel en plus des engrais chimiques, le tout couronné par des insecticides fabriqués en laboratoires pour les protéger des parasites, et ce n’est pas tout. Une fois mûrs, ces fruits et légumes passent par un long séjour dans des chambres froides qui achèvent d’éliminer toute trace de goût ou de saveur. Ils arrivent sur les étals et la table du consommateur fades, fétides et…sans goût, même les viandes rouges ou blanches subissent  cette transformation radicale du goût et de la forme. On remarque des taureaux engraissés artificiellement à base de vaccins fortifiants en plus des aliments fabriqués en usine et dont même l’assimilation se fait de manière artificielle, un traitement qui s’apparente à….des soins intensifs. Le poids de ces taureaux franchit souvent la barre des 500 kg en moins de six mois, leur viande n’a aucun goût comparativement à ceux vivant librement dans les pâturages. Le constat est valable pour la volaille aussi, les succulentes poules de la basse-cour de jadis comparées à celles des actuels poulaillers n’ont aucune ressemblance en matière de goût. Ce phénomène du changement de saveur et de forme est beaucoup plus remarquable dans certaines variétés de ces produits agricoles par le simple fait que leurs semences sont importées tels que la pomme de terre, le blé (dur et tendre). Une simple comparaison entre le concentré de tomate local et celui importé est édifiante au même titre que la confiture d’abricot. En Kabylie, les figues et l’huile d’olive sont les deux produits agricoles cultivés à grande échelle et qui échappent encore à cette dévalorisation. Ces deux produits de large consommation conservent encore toute leur saveur millénaire ainsi que leurs effets thérapeutiques puisqu’ils n’ont subi aucune «amélioration technologique» jusqu’à présent. Espérons qu’ils le resteront pour longtemps encore.                       

Oulaid Soualah

22 novembre, 2010 à 12:38 | Commentaires (0) | Permalien


Hommage à « Mechedou Messaoud

Pour ne pas oublier nos chahids, les jeunes volontaires de village de Tiksrai décident de faire un hommage à l’un de ses héros « Mechedou Messaoud » au niveau de l’école primaire de notre village le 31 octobre 2010 à partir de 9 :00.
Tout le monde est invité

Thanmirth nwen.

 

 

29 octobre, 2010 à 13:18 | Commentaires (0) | Permalien


INONDATIONS Deux femmes blessées à Ahnif

INONDATIONS Deux femmes blessées à Ahnif dans Ahnif Infos P100616-16
L’oued Sahel a crié sa colère

Pylônes à terre, routes coupées, pont et maisons démolis, tels sont les dégâts matériels suite à des inondations.
Le bilan officiel communiqué dans l’après-midi d’hier fait état de la démolition de quatre maisons vétustes à El Hachimia et de la dégradation plus ou moins importante de 11 autres demeures.
A Ahnif, daïra de M’chedallah, plus à l’est, les crues de Oued Sahel ont causé des dégradations dans deux maisons, où deux femmes ont été légèrement blessées. Dans la daïra de Bordj Okhriss, la région la plus touchée, les crues de Oued Ziani ont emporté 7 véhicules, la démolition du pont se trouvant à l’entrée du chef-lieu de la daïra.
Les inondations ont aussi causé des dégâts au niveau de la station thermale de Hamam Ksana, de deux écoles primaires. Même si et heureusement aucune perte humaine n’est enregistrée, les dégâts matériels s’estiment à plusieurs millions.
La société Engeo, chargée de la réalisation d’un port, entre El Adjiba et Semmache, dans la région Est de la wilaya, a vu l’oued emporter dans sa déferlante un groupe électrogène, les agrégats et le bois prévu pour les coffrages. En plus, de la panique que le violent orage a causée sur les rives bloquées plusieurs points où les eaux ont quitté le lit d’oued et où des usagers de la RN5 ont été bloqués.
Dès l’annonce de la catastrophe, une commission composée des élus, de la Protection civile, s’est chargée de reloger les sinistrés. Hier, aux alentours de 14 heures, la vie a repris son cours normal à Bordj Okhris, El Hachimia et à M’Chedallah. Pour pallier à toute équivoque, notamment le danger des MTH, les citoyens des régions touchées ont été alimentés en eau minérale, en attendant le rétablissement et la réparation des canalisations emportées par les crues.
On signale, aussi, la coupure du courant dans les localités avoisinantes notamment le chef-lieu de la daïra d’El Hachimia où 7 pylônes sont tombés. Une information, non vérifiée, fait état de l’électrocution d’un enfant de 14 ans. La nouvelle n’a pas été confirmée mais circule parmi les citoyens que nous avons rencontrés.
Beaucoup parmi eux affirment que la situation pouvait être évitée si les responsables, depuis des décennies avaient canalisé ces oueds qui, aujourd’hui sont un vrai danger.

Abdenour MERZOUK

 

17 juin, 2010 à 9:17 | Commentaires (1) | Permalien


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